Il faut croire pour voir
Science, valse du vertige
Composées pour le documentaire de création « Il faut croire pour voir » (Création on air),
Néon et Le phare tentent d’illustrer cette enquête de manière différente.
Si Néon accompagne, en nappe minimaliste, une entrée dans la matrice avec un ophtalmologue,
Le phare, tente de nous plonger dans une ambiance nostalgique et symphonique, fortement
inspirée du mash up de On the nature of the daylight (Max Richter) et The bitter earth (Dina Washington),
réalisé pour le film de Martin Scorcese Shutter Island.